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C'EST QUI M.S. ?


Bienvenue à tous sur le blog d'une jeune Parisienne d'adoption... Cliquez sur la photo, et vous en saurez plus...

City Expert: Paris
by Easytobook.com

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LA P'TITE PAUSE

Music please! Je renonce à classer cette sélection, je vous laisse piocher :-).

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27 février 2006 1 27 /02 /février /2006 11:12

Il y en avait même quatre, rien que dans les rangs de l’UMP, pour la mairie de Paris en 2008. Après le premier tour des primaires, la semaine dernière, Jean Tiberi et Pierre Lellouche ont été écartés au profit de Françoise de Panafieu et Claude Goasguen, respectivement maires du XVIIème et du XVIème arrondissement.

 

L’ancienne adjointe de Jacques Chirac lorsqu'il était maire de la capitale est arrivée en tête avec près de 41% des suffrages militants. Face à elle, le chef de l’opposition de droite au conseil de Paris depuis 2001 a recueilli 23 % des voix.

 

Particularité du scrutin : les militants UMP ont massivement participé, à plus de 78 % ! Plus de la moitié a voté sur internet, sutout les plus jeunes. Un précédent pour les primaires que Nicolas Sarkozy, président du parti, espère mettre en place pour les présidentielles de 2007.

 

Le deuxième tour est prévu pour le 4 mars prochain. Alors Panafieu ou Goasguen, faites vos jeux !

 

M.S.

 

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26 février 2006 7 26 /02 /février /2006 22:19

On oublie presque que Jean-Marie Bigard occupait la scène seul, avant d’incarner le Bourgeois Gentilhomme de Molière. La troupe l’a manifestement accueilli à bras ouvert, autant que la musique de Lully s’est pliée à quelques modifications orientales et hip-hop.

 

« Les costumes sont étonnants tout de même». « Les airs et les ballets ne sont pas trop dénaturés ». Au moment de l’entracte, quand Madame Jourdain surprend son bourgeois de mari, la tête dans les jupons d’une Comtesse cocaïnomane, le public commente la pièce... Et s’il est question de Jean-Marie Bigard, c’est pour s’étonner de la facilité avec laquelle on l’identifie à son personnage. Le ridicule ne tue pas, et c’est tant mieux, car Bigard en rajoute des tonnes mais on lui pardonne car, qui sait exactement comment la pièce a été voulue ?

 

Une table de ping-pong, un rail de coke, un tour en rollers, un costume de « Men in Black », les baskets rouges des ouvreurs, un journal « L’Equipe », trois gothiques, deux téléphones portables, un caddie et une caméra numérique... En voilà un peu trop, peut-être ? Certes, mais à l’image de la scène entre les deux jeunes couples, « je t’aime, je te titille, je te fuis, je reviens, je ne veux plus, et toi ? », d’une actualité rafraîchissante, la transposition moderne fonctionne.

 

J’y allais à reculons, à cette version. Moi qui avais adoré la pièce jouée dans une sorte de reconstitution dans la cour du château de Blois, il y a 2 ou 3 ans, je me demandais ce qu’un comique comme Bigard pourrait bien faire dans cette pièce. Costumes d’époque, instruments de musique d’époque, danses d’époque, phrasé théâtral éloigné de la langue de tous les jours… Voilà ce qu’on trouvait dans cette version blésoise.

 

Et bien honnêtement, je crois m’être plus amusée à la représentation d’hier que lors de cette reconstitution quelque peu figée. Très intéressante sur le plan culturel, mais bien moins drôle ! Avec une transposition actuelle respectueuse du texte et, surtout, de l’esprit et du message de la pièce, cela coule si naturellement. Je ne doute pas qu’elle fasse son effet lors de la diffusion dans les classes, pour sensibiliser les jeunes au théâtre.

 

M.S.

 

Le Bourgeois Gentilhomme

Au Théâtre de Paris,

15, rue Blanche, 75009 Paris

Métro Trinité

Jusqu’au 24 juin 2006

Tarifs : de 12,40 € à 53,70 €

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25 février 2006 6 25 /02 /février /2006 21:41

Poupées russes, cartes postales de France et de Navarre, meubles des années 60, gong chinois, vieux tiroir caisse, porcelaines de décoration multicolores... La rue Saint Charles a déroulé ses brocantes dans toute leur diversité, ce week-end, dans le XVème arrondissement, près du métro Boucicaut.

Si, contrairement à moi, vous n’avez pas trouvé de petit trésor ou, pire, vous n’avez pas eu assez d’argent pour l’acquérir, pas de panique ! Les exposants étaient des professionnels, et vous retrouverez le trésor en question dans leurs boutiques. Ou encore dans la brocante du quai de la Tournelle, métro Maubert Mutualité, dans le Vème, du mercredi 1er au dimanche 5 mars.

M.S.

Renseignements auprès de la SPAM au 01 45 89 32 07, société organisatrice des deux brocantes.


PS : Ce post était prêt hier soir, mais mon cher over-blog a fait un petit bug. Donc désolée pour le post d'annonce qui n'est plus une annonce mais que je mets tout de même en date d'hier.

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23 février 2006 4 23 /02 /février /2006 23:49

Les admirateurs d’Oscar Wilde lui témoignent leur adoration de manière intéressante. On ne compte plus leurs baisers, déposés sur la stèle de leur idole, dans le cimetière du Père Lachaise. Et si vous y prêtez attention, la statue, un Génie réalisé en 1911 par Jacob Eipstein, a même perdu une partie de ses attributs masculins sous les assauts répétés des fans du grand Oscar !

M.S.
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22 février 2006 3 22 /02 /février /2006 15:10


Le tramway arrive sur le boulevard des Maréchaux. La portion du XVème en est à la pose du gazon. Les spirales vertes ont donc envahi le terre-plein central, comme de gros escargots végétaux. Espérons qu'ils soient moins lents à mettre en place !
M.S.
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21 février 2006 2 21 /02 /février /2006 15:01

Voilà le visage que présente le squatt d’artistes au 59 rue de Rivoli. Oui, vous avez bien lu. Un squatt, rue de Rivoli. Celui-ci n’est pas le seul dans la ville de Paris mais il est particulièrement visible et étonnant sur cet axe plutôt synonyme de magasins de luxe.


« Chez Robert. L’électron libre »
est un collectif d’artistes qui militent, on s’en serait douté, pour un art alternatif. Depuis 1999, première expo sauvage et fondation du collectif, les artistes sont toujours là, ce qui est déjà un tour de force, si l’on se souvient des étapes parcourues jusqu’à présent.


Février 2000, condamnation à l’expulsion après une plainte de l’Etat, alors propriétaire de l'immeuble. Un délai de six mois est obtenu et le 59 rue de Rivoli commence à être médiatisé. On parle alors du phénomène « squart », en contractant « squatt » et « art ». Au printemps 2001, la Mairie de Paris, avec un maire fraîchement élu, décide de tout faire pour empêcher cette expulsion. En 2004, elle rachète l'immeuble.


Légalisation, constitution du collectif en association loi 1901, bref le squatt rentre dans le cadre et il est prévu de mettre en œuvre le projet « Essaim d’art » courant 2008. Mais il dérange toujours un peu, ce squatt, bien sûr. Mars 2005, fermeture au public sur ordre de la préfecture de police. Les normes de sécurité ne sont pas respectées, il faut faire des travaux, prévus pour novembre 2006. Date à laquelle les artistes seront relogés dans un local prêté par la mairie pour les deux années de travaux.


Au retour au 59 rue de Rivoli, il est prévu que la surface visitable soit restreinte. Le lieu « ne sera plus ce que vous avez connu », regrette l’un de ses membres. « Il sera un lieu d'Art "alternatif" ». Tout est dans les guillemets. Si l'on se penche sur les buts affichés en 1999 (réanimer un lieu inculte, permettre à des artistes de créer, se loger et exposer, prouver le bien-fondé d’une politique culturelle alternative), on remarque un glissement, effectivement.

Alors reconnaissance bénéfique ou rentrée dans le rang pure et simple ? A vous de juger. L’immeuble est pour l’instant fermé au public, mais les artistes sont toujours là jusqu’en novembre… Si vous passez devant au moment où l’un d’entre eux rentre, tachez de vous faufiler avec lui par la porte bariolée de l’immeuble !


M.S.
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17 février 2006 5 17 /02 /février /2006 11:49


Sur les bords de Seine, les bouquinistes peuvent devenir de véritables attrape touristes. Vendant à l’occasion de Tour Eiffel miniatures, rien à voir avec cartes postales anciennes, vieux exemplaires de magazines ou livres pêle-mêle. Oui mais… Parfois on peut y découvrir de petites curiosités bien sympathiques ! Zoomons un peu…


Lénine numéro 1 vantant les mérites de Mac Shit, une version personnelle de Mac Donalds sous le crayon de celui qui a conçu cette carte.

 
Ou encore Lénine numéro 2 avec ses acolytes, dans une publicité pour le shampooing Head and Shoulders.

 

On aura tout vu !

 

M.S.

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16 février 2006 4 16 /02 /février /2006 22:30
Vous avez aimé le Paris de Willy Ronis, vous aimerez sûrement la "Seine des Photographes". Willy Ronis est bien sûr de la partie, avec d'autres artistes comme Eugène Atget, Izis, André Kertész, Edouard Boubat, Robert Doisneau, Henri Cartier-Bresson (photo ci-contre) ou les plus modernes Bruno Barbey, Bruno Requillart ou Michaël Kenna. Tous se sont donnés rendez-vous, par photos interposées, à la Conciergerie, depuis le 3 février et jusqu'au 8 mai prochain.

La liste n'est pas exhaustive. Car si les rues de Paris inspirent les objectifs, la Seine n'est pas en reste. L'exposition dégage sept fils rouges parmi les multiples regards sur le fleuve, sur ses couleurs, sur les gens qui y travaillent, qui se promènent sur les berges ou se baignent, par exemple. On y retrouve l'histoire de Paris, sous tous les angles et par le petit bout de la lorgnette peut-être, mais n'est-ce pas parfois le plus touchant ?

Petit apport personnel. Je connais quelqu'un au bras duquel je me promène... et qui me délaisse parfois pour photographier des reflets en noir et blanc, allez comprendre !

M.S.

La Conciergerie
2, boulevard du Palais, 75001 Paris
Métro : Cité, St Michel ou Châtelet
Entrée : 8 euros (plein tarif), 6 euros (tarif réduit), gratuit pour les moins de 18 ans et le 1er dimanche de mars
Renseignements au 01 53 40 60 93
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15 février 2006 3 15 /02 /février /2006 23:14

Cette ville, je l’aime ! Alors pour la Saint Valentin, forcément, la destination s’est imposée… surtout que Vienne ou Prague sont beaucoup plus chères. Pour vous, un petit zoom sur une partie de ce week end. Plus précisément sur la Calle de los Cuchilleros (rue des couteliers), rue terminée par quelques marches et un arc donnant sur la Plaza Mayor. Ci-contre en dessin, photographié dans cette rue.

 

Samedi soir, direction le Sobrino de Botin. Connu comme le plus vieux restaurant du monde, selon le livre Guinness des records, il fut fondé en 1725 dans une maison du XVème siècle. Son cochinillo asado (petit cochon grillé) en a fait salivé plus d’un, y compris Ernest Hemingway, qui en vantent les mérites dans les deux dernières pages de « Le soleil se lève aussi ». Le cordero asado (agneau grillé) ne démérite pas, avec même un goût plus fin qui ravit les papilles. Le tout dégusté dans un coin de la vieille bâtisse, avec poutres apparentes et petits azulejos (carrés de faïence) en  décoration. Vous y entendez plus parler allemand ou anglais… Mais ce que vous trouverez dans votre assiette vous fera vite oublier que vous êtes dans un lieu devenu touristique, où il faut réserver pour ne pas faire la queue une heure avant de dîner.

 

En sortant de là, marchez quelques pas en direction de la Plaza Mayor, et que découvrez-vous ? Un restaurant qui se vante, au contraire, du fait qu’Ernest Hemingway n’a jamais mis les pieds là ! Quel argument de vente… En tous cas, il fait s’arrêter beaucoup de monde, autant que ceux qui, amusés, photographient à outrance le boucher qui court après un cochon, enseigne du Cuchi (de cuchillo, couteau).

 

La même pancarte « Hemingway never ate here » figure à la seconde entrée de ce restaurant, dans la Calle de Toledo. C’est là que le lendemain en fin de matinée, en se promenant, l’on a pu apprécier les qualités acoustiques de ce passage. Un ensemble à cordes y interprétait quelques pièces de Mozart qui ont arrêté une petite foule. Petits et grands qui ont distribué les applaudissements plus facilement que les pièces de monnaie, mais qui ont tous profité de ce moment musical ensoleillé.

 

Décidément les alentours de la belle Plaza Mayor ont toujours des histoires à raconter. Si vous en avez d’autres, n’hésitez pas à participer par un petit commentaire. Sinon, filez vite à Madrid !

 

M.S.

 

PS : Je n’ai pas encore mis d’albums en ligne, alors voici quelques photos supplémentaires dans le post. Sur la Plaza Mayor d'abord, puis au fil de la balade.


Fenêtres blanches, parois rouge foncé, ciel bleu pur sur la Plaza Mayor.


Les lampadaires de la place sont aussi parfaits pour un arrêt lecture.


Statue équestre de Felipe III au centre de la place. Avec un ajout : le pigeon sur la tête.


Un autre pigeon, sculpté cette fois-ci, délicatement tenu par Federico Garcia Lorca, sur la Plaza Santa Ana.


Pour finir, un taureau un peu spécial à l'entrée d'un magasin de souvenirs dans le centre de Madrid.
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13 février 2006 1 13 /02 /février /2006 20:05

La grippe aviaire vient de faire une percée en Grèce et en Italie. Mais bon, comme le nuage de Tchernobyl, elle s'arrêtera à la frontière, n'est-ce pas ? Alors "mangez de la volaille française en toute confiance", comme le claironne ce vollailler de la rue de la Convention.

M.S.

PS : Très vite, un petit billet sur Madrid, un bon week end au soleil avec plein de marche au programme !
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