23 octobre 2006
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Outside Paris
25 juillet 2006
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Outside Paris
19 juillet 2006
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Ce qui est bien avec over-blog, c'est la planification des posts... Vous ne vous êtes même pas rendu compte que je m'étais éclipsée quelques jours à Londres ! Pfiuuut, disparue Marie, et revenue, comme par magie. C'est pas beau ça ?Comme d'habitude lorsque je me trouve "Outside Paris", je ramène quelques petites photos, dont celles que je préfère se retrouvent ici. En voici quelques unes, mais vous en trouverez plus dans l'album sur l'escapade londonienne.
Dans Brick Lane, vous ne pourrez pas faire un pas sans qu'un jeune homme vous vante les mérites de son restaurant indien ou pakistanais ! Ce quartier porte bien son nom de Banglatown. Ici, sans doute les deux seules personnes à ne pas nous avoir abordés pour que nous venions manger chez eux !!!
Vous reconnaissez ces zébrures ? Mais si, allez ! Abbey Road, quatre garçons les cheveux dans le vent, Paul pieds nus... Les Beatles bien sûr... Petit hommage bien difficile à photographier alors que des dizaines de fans tentent de reproduire le cliché en marchant sur le passage piéton.
Londres, la ville où les petits boulots se multiplient... Hommes sandwiches et vélos taxis à gogo.
Autre hommage, sous forme de clin d'oeil aux Poupées Russes, à Romain Duris et à sa Wendy, plantés sur Primrose Hill d'où l'on a une vue panoramique sur Londres.
Et j'arrête là, allez faire un tour dans l'album !
M.S. qui a mal aux pieds et au dos et partout à force de marcher
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Outside Paris
14 juin 2006
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11:31
Chose promise... Voici quelques images de ce week end en vallée de la Loire, entre Tours et Saumur.
Commençons par Tours, sa place Plum' et ses vieilles maisons à colombage. Quand on a passé une année dans cette ville, certes une année de prépa..., on y revient avec grand plaisir. Surtout quand c'est pour retrouver quelques copines ;-) !
Et Tours aussi a ses gargouilles ! Ici dans le cloître de la Psalette, qui touche à la Cathédrale Saint Gatien.
Sur la route vers le gîte, une vision à la Monet, les coquelicots recouvrent les champs le long de la Loire.
Et voici le gîte, La Reynière, à Saint Etienne de Chigny... dont je ne saurais dire trop de bien. Les maîtres des lieux sont charmants et vous donnent toujours la bonne adresse (château, cave ou restaurant). Le village également vaut le détour, tout en longueur, le long du coteau où les maisons troglodytes se suivent et ne se ressemblent pas !
De l'autre côté de la Loire, Villandry, son château et surtout ses jardins. Ici, la terrasse consacrée au potager.
Et comme une balade à l'air libre, ça donne chaud, surtout en ce week end très ensoleillé... petit détour par les caves dont la région est si riche. Entre Vouvray, Bourgueuil, Saumur Champigny... on a le choix ! Et dans les caves troglodytes, la température ambiante est de l'ordre de 12°C, un vrai bonheur...
Qui dit caves dit vignes. Elles s'étendent à perte de vue, avec parfois un petit village et son clocher, tout de même... Mais les panneaux indiquant les propriétés viticoles sont presque plus nombreuses que ceux qui indiquent les villes et villages ! Sans compter les panneaux marrons dédiés aux châteaux et points touristiques.
Justement, visite touristique avec l'abbaye de Fontevraud. De là, 900 ans nous comtemplent. Restaurée après avoir été saucissonnée pour devenir une prison, l'abbaye royale est l'une des plus grandes d'Europe, avec une multitude de bâtiments. Ici, les cheminées de la cuisine, une architecture assez surprenante...
Retour au frais, dans un château que je ne connaissais pas du tout : Brézé. Sa particularité : le premier château fut creusé, en troglodyte ! Un vrai château sous le château, qui permet aussi de se balader dans les douves, où débouchaient des galeries dédiées à la cuisine, la boulangerie, des boutiques... Bref une vraie ville autour du château, mais sous le sol et les vignes du domaine ! Le fléchage très bien réalisé permet de ne pas se perdre dans ce dédale, mais tout de même : claustrophobes, s'abstenir !
Autre château, autre petite histoire. A Ussé, c'est celle de la Belle au Bois Dormant ! Perrault se serait inspiré de cette tour pour écrire son conte, et le château surfe allègrement sur cette version : mannequins d'Aurore et des autres personnages dans la tour, bottes de postillons qui amènent l'histoire des Bottes de Sept Lieues, forcément... Ce n'est pas un musée Perrault, tout de même, le château est très bien meublé par ailleurs.
Last but not least de nos visites, avec Azay le Rideau, qui a l'air de flotter sur l'Indre...
Et c'est là que s'achève la visite. Une explication sur les gabares / futreaux (cf post précédent) suivra très très vite. J'espère en tous cas que vous visiterez cette région, si ce n'est déjà fait. Moi en tous cas, cela me donne envie de me replonger dans les livres d'histoire !
M.S.
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10 mai 2006
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Published by Marie Simon
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Outside Paris
15 février 2006
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23:14
Cette ville, je l’aime ! Alors pour la Saint Valentin, forcément, la destination s’est imposée… surtout que Vienne ou Prague sont beaucoup plus chères. Pour vous, un petit zoom sur une partie de ce week end. Plus précisément sur la Calle de los Cuchilleros (rue des couteliers), rue terminée par quelques marches et un arc donnant sur la Plaza Mayor. Ci-contre en dessin, photographié dans cette rue.
Samedi soir, direction le Sobrino de Botin. Connu comme le plus vieux restaurant du monde, selon le livre Guinness des records, il fut fondé en 1725 dans une maison du XVème siècle. Son cochinillo asado (petit cochon grillé) en a fait salivé plus d’un, y compris Ernest Hemingway, qui en vantent les mérites dans les deux dernières pages de « Le soleil se lève aussi ». 
Le cordero asado (agneau grillé) ne démérite pas, avec même un goût plus fin qui ravit les papilles. Le tout dégusté dans un coin de la vieille bâtisse, avec poutres apparentes et petits azulejos (carrés de faïence) en décoration. Vous y entendez plus parler allemand ou anglais… Mais ce que vous trouverez dans votre assiette vous fera vite oublier que vous êtes dans un lieu devenu touristique, où il faut réserver pour ne pas faire la queue une heure avant de dîner.
En sortant de là, marchez quelques pas en direction de la Plaza Mayor, et que découvrez-vous ? Un restaurant qui se vante, au contraire, du fait qu’Ernest Hemingway n’a jamais mis les pieds là ! Quel argument de vente… En tous cas, il fait s’arrêter beaucoup de monde, autant que ceux qui, amusés, photographient à outrance le boucher qui court après un cochon, enseigne du Cuchi (de cuchillo, couteau).
La même pancarte « Hemingway never ate here » figure à la seconde entrée de ce restaurant, dans la Calle de Toledo. C’est là que le lendemain en fin de matinée, en se promenant, l’on a pu apprécier les qualités acoustiques de ce passage. 
Un ensemble à cordes y interprétait quelques pièces de Mozart qui ont arrêté une petite foule. Petits et grands qui ont distribué les applaudissements plus facilement que les pièces de monnaie, mais qui ont tous profité de ce moment musical ensoleillé.
Décidément les alentours de la belle Plaza Mayor ont toujours des histoires à raconter. Si vous en avez d’autres, n’hésitez pas à participer par un petit commentaire. Sinon, filez vite à Madrid !
M.S.
PS : Je n’ai pas encore mis d’albums en ligne, alors voici quelques photos supplémentaires dans le post. Sur la Plaza Mayor d'abord, puis au fil de la balade.
Fenêtres blanches, parois rouge foncé, ciel bleu pur sur la Plaza Mayor.
Les lampadaires de la place sont aussi parfaits pour un arrêt lecture.
Statue équestre de Felipe III au centre de la place. Avec un ajout : le pigeon sur la tête.
Un autre pigeon, sculpté cette fois-ci, délicatement tenu par Federico Garcia Lorca, sur la Plaza Santa Ana.
Pour finir, un taureau un peu spécial à l'entrée d'un magasin de souvenirs dans le centre de Madrid.
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