Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

C'EST QUI M.S. ?


Bienvenue à tous sur le blog d'une jeune Parisienne d'adoption... Cliquez sur la photo, et vous en saurez plus...

City Expert: Paris
by Easytobook.com

SUIVRE LE FIL

LA P'TITE PAUSE

Music please! Je renonce à classer cette sélection, je vous laisse piocher :-).

Découvrez la playlist Inside Paris list
21 novembre 2007 3 21 /11 /novembre /2007 08:17
revelation.jpgDimanche, entre deux films, petit entracte artistique près d'Olympiades... Invités par un ancien collègue de Mister Inside Paris à une expo photos à laquelle il participait, on allait pas se faire prier ! Le jeune homme en question, Martin, a un oeil, un vrai, pour vous concocter des clichés incroyables avec un petit brin d'humour... Quelques clics sur son blog vous convaincront plus facilement que moi.

M.S. qui fait d'la pub pour celui qui va décorer notre salon, bah quoi, j'ai pas l'droit ?

Partager cet article
Repost0
20 novembre 2007 2 20 /11 /novembre /2007 09:13
Ca se chiffre en millions à l’échelle nationale… Ca se symbolise par un lecteur MP3 à ma petite échelle de Parisienne paumée.

Hier matin. Alors que la moitié du wagon descend à la station de métro République, voilà-t-y pas que je me retrouve happée par la foule. Dans la cohue, je garde mon calme, aidée en cela par les précieux écouteurs qui me permettent d’instaurer un semblant de bulle protectrice en pleine mêlée. Ma préférence du moment : Duke Special, récemment découvert au concert d’Emilie Loizeau et immédiatement adopté ! Jusqu’à ce que…. Horreur, malheur, plus de musique ! Plus de fil au bout de mes écouteurs ! Plus de lecteur MP3 dans ma poche ! Arraché par une personne malveillante ou juste par le mouvement de la foule, je ne saurai jamais. Mais d’un seul coup, je me suis sentie un peu orpheline dans la rame de métro archi-pleine à craquer ! Plus de bulle à moi, snif.


M.S. qui joue de la musique dans sa tête pour oublier !
Partager cet article
Repost0
16 novembre 2007 5 16 /11 /novembre /2007 16:45

 

Les grèves, ça vous énerve ? Moi aussi, mais c'est l'occasion aussi d'observer quelques scènes rigolotes ou de tendre l'oreille pour des discussions surréalistes. Petit florilège que je vous invite à compléter…

Mercredi

Sur mon vélo pas Vélib', plus léger pour slalomer entre les voitures, je slalome, priant pour éviter portières et rétroviseurs ! Quand, à un feu rouge du boulevard Haussmann, stoppée au milieu des motos pétaradantes, j'entends une femme, accrochée derrière son co-motard : "Il paraît qu'il y a quand même quelques métros. Purée, la galère. Enfin on verra ce soir, hein ? Tu rentres comment toi ?" Comme quoi, dans la grève, de quoi parle-t-on encore…
  

Jeudi
Dans le métro, ligne 9, nous sommes pressés comme des citrons. Une femme, un brin coquette, jette des regards inquiets autour d'elle et finit par lever le bras au-dessus de la mêlée. A la main, une enveloppe, sans doute au contenu très précieux. "Oh la la, ma lettre de candidature, il ne faudrait pas la froisser", confie-t-il à son amie, juste à côté de moi. "Vous postulez où ?, lui demande un autre voisin. Pas à la RATP, j'espère !" Réplique qui lui valut un rire collectif dans le wagon.
 

Plus tard, ligne 2 cette fois, un métro est bloqué à la station Pigalle. "N'essayez pas de rentrer dans les wagons, c'est plein. D'ailleurs si certains pouvaient descendre, on pourrait fermer les portes correctement et quitter la station", explique le conducteur. Oui mais s'il a des capteurs pour lui indiquer si ses portes latérales sont fermées ou non, en a-t-il sur les portes qui permettent de passer d'un wagon à l'autre ? J'en doute, car au moment de partir, 5 minutes plus tard, deux personnes se trouvaient perchées sur les petites plateformes entre les wagons. Et la sécurité dans tout ça ? (photo à venir...) 

Vendredi
Alors là, c'est la meilleure... Après le travail, je me balade un peu, fais quelques achats, puis tente de prendre le métro à Grands Boulevards. Le panneau qui indique le temps d'attente clignote, égraine des minutes qui en font plutôt quatre qu'une, en rajoute même parfois... Et au bout de 45 minutes, un train se présente. Ouf, on grimpe. Mais arrivée à Strasbourg Saint Denis, beaucoup de monde cherche à descendre. Je sors du wagon, poliment. Pour ne pas pouvoir y remonter ! Trop de nouveaux usagers ont grimpé dedans, il n'y a plus de place. Voilà comme on se fait "éjecter" d'un métro. Allez, on attend 15 minutes la prochaine rame ? Même pas mal...

M.S. qui ne sait pas si sa photo faite avec son portable sera potable... D'ailleurs je n'ai pas encore trouvé le fil pour le raccorder à mon ordi.

Partager cet article
Repost0
2 novembre 2007 5 02 /11 /novembre /2007 16:31
velib-arrive.jpgAh, ils vous narguent tous avec leurs Vélib' en ville ! Tous plus adroits et sûrs d'eux sur leur deux-roues, tandis que vous... la ville et ses dangers vous refroidissent. Et je vous comprend (cf mon aventure à Vélib' avec des bus un peu imposants !) La solution : la formation que proposent les associations Cyclo-Pouce, Mieux se déplacer à bicyclette et Voiture & Co, en partenariat avec la mairie de Paris.

Du 8 novembre au 15 décembre, à défaut d'établir un code de la rue comme beaucoup le souhaitent, vous pourrez assister à des séances de familiarisation à la conduite du vélo en milieu hostile... pardon urbain ! D'abord avec des initiations théoriques (gratuites) qui reviennent sur les conseils de sécurité et le code de la route. Puis sur la selle, avec des balades au milieu de la circulation parisienne à 2,50 euros la séance.

Si vous êtes intéressé, voici le programme. La réservation est obligatoire, de préférence plusieurs jours à l'avance (vu l'engouement pour les Vélib'). Vous pouvez joindre :
Mieux se déplacer à bicyclette au 01 43 20 26 02
Cyclo-Pouce au 01 42 41 76 98
Voiture & Co au 01 45 82 14 25

Ces cours sont réservés aux plus de 14 ans qui ont déjà une pratique du vélo. Pour ceux qui n'ont jamais appris à rouler sur deux-roues, d'autres formations sont disponibles avec Cyclo-Pouce ou AICV.

M.S. qui n'a toujours pas son abonnement Vélib' !

P.S. du 12 novembre : 20minutes en parle.
Partager cet article
Repost0
29 octobre 2007 1 29 /10 /octobre /2007 22:51

Comme vous l’a rapporté précédemment Mrs Inside Paris, nous avons eu le grand privilège d’assister au concert parisien de Sir Paul McCartney lundi dernier. 35 ans qu’il n’était pas revenu à l’Olympia !!! La dernière fois, en 1972, c’était avec son groupe de l’époque (Les « Wings » pour les plus jeunes d’entre vous). Mais la date qui a marqué les esprits est bel et bien celle de 1964, où avec trois autres garçons dans le vent, il a lancé la vague de Beatlesmania qui s’est abattue sur la France et qui, ma foi, vu l’ambiance de ce concert, est restée intacte.

Au milieu de 2.000 spectateurs, dont quelques VIP (je suis notamment tombé sur Matthieu Chedid en sortant des toilettes : voilà, le détail qui tue, c’est fait), nous avons donc assisté au récital de notre ami Paulo. 20h45, alors que nous attendons notre ex-Beatles préféré (en même temps la moitié d’entre eux n’est plus de ce monde), un fan au milieu de la fosse lance un compte à rebours : 10, 9, 8, 7… puis une partie de la foule le reprend avec lui : 5, 4, 3, 2, 1, 0. Sans vraiment y croire, juste pour mettre de l’ambiance et qui sait, faire venir la star de la soirée.

Et là, notre ami Paul apparaît comme par magie, en passant le rideau, tout simplement. Il tient sa guitare sèche dans les mains. Il est classe avec son costume et sa cravate ficelle. De loin, il a des airs juvéniles qui font penser à Michael J. Fox. Après avoir dit quelques mots en français et laissé les fans s’époumoner, il joue une des plus belles chansons des Beatles, Black Bird, hymne à la tolérance écrite en 1968. Le moment est magique : le jeu de lumière est très sobre (un simple cercle) tout comme le jeu de scène de McCartney. 

Vient le moment de la deuxième chanson de la soirée Dance Tonight, 1er single de son dernier opus « Memory almost full ». Il s’agit d’une bourrée irlandaise au texte des plus simples mais qui comme très souvent avec lui, fait rapidement mouche. Il joue l’intro avec sa mandoline pour gaucher achetée récemment et au milieu de la chanson, un son de batterie prévient de l’entrée en scène du reste du groupe. 

Ces premiers moments, en vidéo :


En 1h45 de concert, il égraine des tubes intergénérationnels et intemporels labellisés Beatles (Hey Jude et Let it be, Eleanor Rigby, Michelle et The Long and winding road), tout en les entrecoupant de morceaux rocks (I saw her standing there, Got to get you into my life, Back in the USSR) sans oublier des titres de sa carrière solo qui n’ont pas à rougir de la comparaison (Band on the run, Live and let die, Only mama knows, Calico Skies).

Même les spectateurs qui ne connaissent pas toutes ces chansons (Mrs Inside Paris pour ne pas la citer) retiennent en un rien de temps la mélodie et les paroles. C’est ça la force du bonhomme: vous mettre dans la tête des mélodies de prime abord assez simples mais terriblement efficaces.

Quelques exemples ? Ok, il suffit de demander !





Evidemment, le public ne s’est pas contenté du rappel « prévu », avec Hey Jude, Let it be et Lady Madonna repris tels des hymnes par les 2.000 grands malades de la salle ! Bien sûr, il en fallait plus. Nous, sachant que Paulo ne revenait quasi-jamais, avions déjà récupéré nos manteaux au vestiaire, croisant quelques peoples au passage, quand soudain… Le brouhaha de la foule monte d’un cran. Pris d’un doute, nous voilà en train de dévaler les escaliers et de retrouver notre place initiale, au fond de l’orchestre, juste à temps pour voir Paulo revenir avec une serviette blanche autour du cou. Suivi de près par ses musiciens, il a remis le couvert ! Avec, message aux enfants terribles de l’Olympia, un Get back à propos.


Nous, évidemment, voudrions qu’il « come back », qu’il revienne. Enfin… dans moins de 35 ans !

Mister Inside Paris, who else ?

P.S. : Pour en voir et en entendre plus, rendez-vous le 16 novembre sur Canal + !

Partager cet article
Repost0
23 octobre 2007 2 23 /10 /octobre /2007 18:31
Comme promis la suite de nos aventures mccartney-iennes (et une mise en forme du post précédent, un peu trop monolithique à mon goût).

19h – Sortie du métro Havre-Caumartin et coup de fil de mes parents, légèrement fans des Beatles. « Mais tu te rends compte que tu vas voir une légende ? On aimerait tant être là ! Fais le plein de souvenirs, ça n'arrive qu'une fois ! » Là, et seulement là sans doute, je réalise. Je réalise que je viens de faire huit heures de queue dans le froid. Que je vais voir Paul McCartney. Et que je suis la copine d'un fou furieux, Mister Inside Paris, sans qui jamais je n'aurais eu cette patience !

19h10 – Et c'est reparti pour une heure de file d'attente, de nouveau dans la rue Scribe dans laquelle s'étend le long cortège d'inconditionnels, décidément très disciplinés.

20h – On y est presque, allez un effort. Un doute cependant. L'Olympia avait dit fermer les portes à 20h pour les derniers arrivés, mais nous sommes encore des centaines à faire la queue. Que va-t-il se passer ? Seront-ils chiens à ce point ? Après avoir ouvert les grilles en retard, à 19h et non pas 18h30 ?

20h15 – C'est bon, nous sommes dans la place !

20h30 – Paul se laisse désirer quelques petites minutes, on lui pardonne. La foule massée dans l'orchestre applaudit les people qui se trouvent au balcon. Nous, nous sommes au fond de la fosse, sous le balcon, nous ne voyons rien de tout cela mais au moins, en raison de ma petite taille et de l'inclinaison de la salle, pourrai-je voir la tête de Paul. J'apprendrai plus tard que Douste-Blazy a swingué toute la soirée là haut, oh yeah ! Quant à Mister Inside Paris, il n'était pas mécontent non plus d'échapper aux poussées intempestives des fans et de pouvoir bouger à son aise au fond de la salle. Serions-nous légèrement agoraphobes ? Après avoir été pressés les uns contre les autres des heures, comme dans un métro pendant la grève, il y aurait eu de quoi !

20h45Pauuuuuuuuuuuuuul apparaît seul sur scène. Guitare sèche en main, devant le rideau rouge de l'Olympia, il profite. Les mains déjà douloureuses à force d'applaudir, nous profitons aussi. Il est là, tout simple dans son costume et avec sa cravate fine du clip de Ever Present Past. Et entonne tout seul le concert avec un Blackbird aérien. Comme un cadeau pour ses 2000 auditeurs. Et pour lui aussi, au passage, car une telle ferveur doit faire du bien à l'ego. Hein, Paul ?

La suite du concert sous la plume de Mister Inside Paris...

M.S. qui rêve de dormir 24h d'affilée !
Partager cet article
Repost0
22 octobre 2007 1 22 /10 /octobre /2007 18:27

Aujourd’hui, 22 octobre 2007, date à conserver dans les annales : Paul McCartney revient à l’Olympia pour « seulement » la troisième fois de sa longue carrière, après y avoir joué et chanté avec les Beatles en 1964 puis les Wings en 1972. Mister Inside Paris étant un fan inconditionnel, il fallait au moins tenter d’assister à ce concert historique !

5h30 – Lever difficile, très difficile ! Préparation de nos affaires, petit déj consistant et douche revigorante avant le départ. Serions-nous inconscients d’acheter les billets le jour même ? Même pas vrai, nous n’avions pas le choix : les 2000 places sont mises en vente à 11h à l’Olympia, aujourd’hui, point barre.

7h ou un peu avant – Nous arrivons devant l’Olympia. Face à l’entrée de la salle, des fans sont encore allongés : ils ont dormi là, couvertures et guitares pour compagnes. Certains sont même là depuis dimanche 14h30. Plus loin, le trottoir du Boulevard des Capucines est déjà bondé d’aspirants spectateurs de toutes les générations ! Pire, la rue Scribe, qui fait l’angle, est elle aussi à moitié remplie ! Sans grand espoir, nous nous installons tout près de la boutique Nespresso, à côté d’un George Clooney que j’adore mais qui, pour le coup, semblait nous narguer un brin… Et l’attente pouvait commencer.

9h – Il fait jour depuis peu. Nous avons réussi à avancer, grâce à des regroupements à l’avant de la file, jusqu’au coin de la rue, le coin des courants d’air. Youpi ! Il doit faire dans les 5°C, on ne sent déjà plus nos pieds. Mister Inside Paris va faire un tour pour se dégourdir les jambes… et revient les mains pleines. Un cappuccino, un café au lait, un cookie et un muffin. Miam ! On se régale, c’est pas bon pour le régime mais tant pis.

10hTout le monde y va de son comptage personnel. Il y aurait 1000 personnes devant nous. Plus ou moins. Pour les 2000 places de l’Olympia (version fosse ouverte), c’est jouable, alors on continue. Ces trois heures de patience ne seront pas perdues. Pendant ce temps, les télés et radios viennent interroger les fans, surtout à l’avant, mais aussi à notre niveau, pour savoir si nous avons un espoir d’y arriver. Merci de nous remonter le moral ! La queue semble se tasser, dans un joyeux bazar. Mais c’est déjà pas mal, étant donné que cet ordre de marche n’est issu que de la bonne volonté et de l’autodiscipline des personnes présentes. L’Olympia n’a rien fait pour et tiendra cette ligne de conduite jusqu’au dernier moment !

11h – Au niveau de la boutique Gap, nous entendons les hourra à l’avant de la foule : les guichets ont ouvert.

12h – Les spectateurs avancent par vagues, nous progressons mètre après mètre, pendant que des sifflets s’élèvent devant nous : des petits malins ont tenté de doubler tout le monde. Mais la foule disciplinée ne l’entend pas de cette oreille. Non mais.

13h – Deux heures de guichets et seulement quelque 500 places vendues, à peu près, d’après les estimations savantes de nos voisins ! Nous alternons pour faire des pauses, marcher et aller au café d’à côté pour se réchauffer un brin. Mon cher mal de dos, un temps oublié, revient se manifester, forcément. Quelques petits étirements sur le trottoir et ça passe temporairement. Je reçois quelques regards incendiaires à cette occasion : et pour cause, je me trouvais alors sur le territoire de la deuxième file d’attente, celle de ceux qui avaient dormi sur place et déjà obtenu leur billet et leur bracelet, double sésame nécessaire pour assister au concert le soir même, à 20h30. On ne perd pas de temps pour pouvoir approcher Paul !

14hCa n’avance plus. Les rumeurs courent : plus de places assises en balcon, plus que 400 places à vendre (où sont passées les autres puisque nous n’avancions plus…), puis plus que 200 places… La première était vraie, pas les autres ! Alors on insiste, on pousse légèrement et on avance.

15h – Nous voilà juste derrière le dos du vigile qui filtre la foule à 20 mètres des guichets. Et là, miracle, je passe… mais pas ma moitié ! J’avance à reculons, demandant du regard au vigile de libérer Mister Inside Paris, bien plus fan que moi, soit dit en passant. Il finit par me rejoindre, ses voisins ayant fait pression et commençant à se scandaliser du fait qu’on nous sépare si injustement !

paul-macca.jpg15h30Le sésame est à nous. Deux billets en main, après que le lecteur de cartes bleues a ruminé la mienne pendant 3 minutes, et deux bracelets à nos poignets. C’est bon !! Nous ne sentons plus nos pieds, nous avons le dos en compote et les yeux irrités par le froid, mais c’est bon.

16h – Retour à la maison pour déjeuner, se doucher, surfer un peu, apprendre que nous étions 3000 sur place, se reposer voire dormir, écrire ce post, et se préparer pour aller de nouveau à l’Olympia pour le concert.

18h30 – C’est reparti, mon kiki ! A plus tard pour la suite de cet épisode !

M.S.

Partager cet article
Repost0
19 octobre 2007 5 19 /10 /octobre /2007 20:08
pigeon.jpgVous savez déjà que je ne porte pas les pigeons, parisiens ou de toute autre ville, dans mon coeur. Moins ces volatiles sont présents autour de moi ou sur mon mini-rebord de fenêtre, mieux je me porte. Que m'ont-ils fait ? Rien ! C'est un sentiment qui ne se justifie pas, point final.

Mais un sentiment que je partage avec d'autres. Sur Facebook, existe un groupe fait pour moi : « La Haine des Pigeons » ! « Quelques raisons de les détester », énumèrent ses créateurs, « ils nous chient dessus précisément au moment où on s'y attend le moins ; ils roucoulent tellement fort qu'on dirait des bombes à retardement ; maintenant, ce n'est plus aux pigeons d'avoir peur, mais c'est à nous: vous avez du remarquer qu'on les effraie beaucoup moins facilement qu'avant ».

De quoi justifier un plan d'éradication massive, selon aux !
Je viens d'ailleurs de recevoir un message adressé à tous les membres de ce réseau, une véritable déclaration de guerre. Le texte ?
« Pour fêter l'admission de la 300ème personne à notre cause, vous avez tous une semaine pour torturer au moins un pigeon, d'un coup de pied, de voiture ou quoique ce soit qui vous fasse prendre du plaisir... Et surtout nous raconter votre aventure !! Nomination au statut d'admin pour celui ou celle qui nous apportera aussi une photo de son bienfait ».

Existent aussi en anglais, the Alliance against the pigeon invasion, et également le très imaginatif Go ahead, shit on a pigeon ! J'en passe et des meilleurs. Moins haineux (quoique), le Pigeon group où les « I love pigeons » côtoient les « I fucking hate pigeons » et les « Pigeons are actually government controlled spybots. They can see everything everywhere in busy cities. Boo ». On a peur, hein ! Sorry mais, en revanche, je n'ai pas trouvé trace de groupe entièrement en faveur de ce petit animal...

Mais pourquoi tant de haine ?

M.S. qui n'a même pas peur de Big Pigeon Brother !



Partager cet article
Repost0
18 octobre 2007 4 18 /10 /octobre /2007 20:01
plume.jpgLa plume vous démange ? Tant mieux. Vous pourriez bientôt avoir votre production littéraire affichée dans les rames de métro... La RATP lance en effet un concours d'écriture, en collaboration avec le Centre National du livre, France Culture, A Nous Paris et les éditions du Pommier. Jusqu'au 15 décembre, laissez courir votre inspiration sur le thème « Ma ville comme je l'aime ». Seule contrainte pour tenir dans les petits espaces d'affichage des métros, la taille est de maximum 400 signes, espaces compris. Pas question de disserter donc, « vamos al grano » mais avec élégance et style, les amis !

Pour plus de détails sur le thème, les modalités et les prix à remporter (en dehors de la gloire d'être lu par les usagers du métro), un petit clic ici.

M.S. qui voudrait bien participer quand elle aura le temps et l'inspiration
Partager cet article
Repost0
16 octobre 2007 2 16 /10 /octobre /2007 18:02

v--libmontant.JPGOn n’a pas fini de s’extasier devant l’inventivité de nos concitoyens ! Dernièrement, à Paris, ce sont les Vélib’ qui nourrissent l’imagination des gens… Vous connaissiez les Vélibataires ou Pielib ? Ce n’est pas fini, non non. Découvrez Vélibmontant !

Il s’agit du concours de la montée la plus rapide de la rue de Ménilmontant, cette « mortelle pente tous mollets saillants », en Vélib, une brave monture de 22 kg tout de même ! « Le parcours est simple et unique. Le départ se fait de la borne Vélib toute proche du métro Ménilmontant, l’arrivée est fixée à la borne située au croisement de la rue de Ménilmontant et de la rue des Pyrénées ». Le record actuel détenu par un certain Maxime est de 3 minutes et 15 secondes. Comment s’assurer du temps mis à grimper ? « Une course validée est une course avec un reçu imprimé à la fin de la course ». Simple comme bonjour !

Une variante, pour les plus mélomanes : la Vélyvesmontand. Même principe, mais en chantant « A bicycletteuuuuh » ! « à tue-tête de préférence, et avec les couplets dans l’ordre. Une vidéo est toujours la bienvenue pour témoigner de la performance ». Rameutez donc les fans du Tour de France, en mal de héros non dopés à l’EPO et autres cocktails appétissants.

Si vous n’aimez pas pédaler seul, autre solution, élancez-vous dimanche prochain, 21 octobre, à 20h ! Le rendez-vous de cette prochaine Vélibmontant massive est fixé à 19h30 sur le parvis du métro Ménilmontant.

M.S. à bicycletteuuuuuuuuh

Partager cet article
Repost0